Otakonseil https://www.otakonseil.com/ Jeux-vidéos Mangas Animes Sun, 29 May 2022 20:25:06 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.1.3 https://www.otakonseil.com/wp-content/uploads/2019/02/cropped-otakonseil_littlelogo_500-1-e1551298388626-32x32.png Otakonseil https://www.otakonseil.com/ 32 32 Test : Gran Turismo 7 sur PS4, le test de Max ! https://www.otakonseil.com/jeux-video/jeux-videos-sony/sony-tests/test-gran-turismo-7-sur-ps4-le-test-de-max/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=test-gran-turismo-7-sur-ps4-le-test-de-max https://www.otakonseil.com/jeux-video/jeux-videos-sony/sony-tests/test-gran-turismo-7-sur-ps4-le-test-de-max/#respond Sun, 29 May 2022 20:25:01 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12298 L’article Test : Gran Turismo 7 sur PS4, le test de Max ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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Test : Gran Turismo 7 sur PS4, le test de Max !

Le 4 Mars dernier a vu la sortie du dernier opus d’une des licences les plus célèbres du jeu de course automobile : Gran Turismo 7. Sous titré très sobrement « The real driving simulator », voyons ensemble si la promesse est tenue.

 Gran Turismo 7

 

Genre : Course – Simulation automobile

 

Développeur : Polyphony Digital

 

Éditeur : Sony Interactive Entertainment

 

Supports : PS4 – PS5

 

Classification : 3+

 

Date de sortie : 4 Mars 2022

 

Une prise en main peu alléchante

 

Gran Turismo fête ses 25 ans ! L’occasion est venue de célébrer cette exceptionnelle longévité et, quoi de mieux qu’une cinématique d’introduction reprenant des images d’archives depuis la naissance de l’automobile jusqu’à nos jours ? Une bonne idée sur le papier qui, malheureusement, s’étire en longueur et devient une (trop longue ?) succession de plans de voitures en 3D.

La première course essaye, elle aussi, de jouer la carte de l’originalité. Voulant allier jeu de voiture et jeu de rythme, on nous impose dès les premières minutes un mini-jeu dans lequel il faut arriver à la fin d’un circuit avant la fin d’une chanson. Encore une bonne idée sur le papier mais qui, dans les faits, n’est rien de plus qu’une course contre-la-montre.

On découvre ensuite l’articulation principale du jeu via d’innombrables boites de dialogues. D’un côté, un menu déguisé en carte du monde vous présente les différentes activités disponibles : les circuits, le garage, le préparateur automobile, le café des quêtes, le mode multijoueur, le mode photo etc… de l’autre, le pilotage, une fois le circuit choisi. 

Après environ deux heures de jeu, un tutoriel déguisé en passage de permis vous est imposé. Un choix plus que discutable puisqu’il s’agit de vous apprendre à freiner ou prendre un virage (9 fois d’affilés mais avec des voitures différentes) après déjà plusieurs courses entièrement terminées. 

C’est l’occasion également de gérer les paramètres de conduite et désactiver presque intégralement toutes les aides qui, par défaut, viennent vous parasiter en jouant à votre place.

 

L’automobile 

 

 
 
Si malgré tout ceci, ce début de jeu n’a pas épuisé votre capital patience, vous aurez le loisir d’enfin mettre la gomme. Enfin… pas tout de suite. La gamme de véhicules proposée étant extrêmement large, vous débuterez avec des autos relativement communes et donc peu puissantes. L’aspect simulation est donc bien respecté ici et il faudra progresser quelques heures avant de réellement éprouver une sensation de vitesse.
 

Simulation vous dites ? En effet, il s’agira de conduire avec subtilité. Certains circuits peuvent être assez techniques et exigent un certain doigté manette en main. Les amateurs de drifts pied au plancher devront vite apprendre à anticiper et freiner avec les roues bien droites s’ils ne veulent pas récupérer leurs bolides dans le décor. Une conduite propre et rigoureuse est ici la clé de la réussite.

 

Dans le but de vous aider à trouver votre bonheur derrière le bon volant, l’aspect collection est un élément central du titre. Il y en a vraiment pour tous les gouts ! Réparties en trois catégories (américaines, européennes, asiatiques) les autos, de la plus mythique au dernier concept-car, de tous les continents et de toutes les époques, sont à votre disposition, moyennant des crédits gagnées en jouant, ou de l’argent réel via micro transactions.

 

La personnalisation est elle aussi au rendez-vous, tant sur la partie mécanique qu’esthétique. Pour ceux que cela intéresse mais surtout, qui maitrisent le sujet, chaque voiture peut être paramétrée avec précision afin d’en optimiser les performances.

 

Mention spéciale à la modélisation des véhicules sur les plans visuels et sonores qui témoigne d’un vrai travail de passionnés d’automobiles. Les quêtes accomplies vous débloqueront même des présentations (succinctes fort heureusement) de certaines voitures ayant marqué l’histoire par leur design ou leur technologie. Une vulgarisation bienvenue pour ceux qui auraient la curiosité d’en apprendre plus.

Et … c’est tout ? 

 

 

 
 

Cela peut paraitre assez triste dit comme ça mais … oui. Sans scénario, sans monde ouvert (ou au moins une articulation organique), sans personnages, sans quêtes hormis la collection, Gran Turismo 7 est un jeu bien vide au regard de ce que propose la concurrence. Concentré avant tout sur le pilotage et l’automobile au sens large, le titre se distingue par une approche assez simpliste du jeu de course : Vos voitures et des circuits, point barre.

Toute l’attention a été portée sur le confort du joueur dans son costume de pilote. En témoigne les nombreux réglages possibles dans l’assistance à la conduite qui permettent de réellement personnaliser l’expérience, mais aussi le choix de la performance et de la fluidité, même sur une PS4 vieillissante.

L’avis du testeur sur Gran Turismo 7

GT7 est donc bien un jeu de simulation qui ne prétend pas être autre chose et qui assume son parti pris. Malheureusement entaché par un « menuing » omniprésent et des choix discutables dans son accroche, le titre a peu de chances de séduire les néophytes.

En une phrase : un jeu de niche qui doit très certainement exprimer tout son potentiel immersif avec un volant et un pédalier, mais qui tombera des mains de ceux qui s’amusaient déjà sur un Forza Horizon.

 

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Chronique : Tôgen Anki : Au cœur de la légendaire guerre sanglante ! https://www.otakonseil.com/articles/chronique-togen-anki-au-coeur-de-la-legendaire-guerre-sanglante/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=chronique-togen-anki-au-coeur-de-la-legendaire-guerre-sanglante Mon, 25 Apr 2022 22:39:45 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12365 L’article Chronique : Tôgen Anki : Au cœur de la légendaire guerre sanglante ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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Chronique : Tôgen Anki : Au cœur de la légendaire guerre sanglante !

Je commencerai par vous dire que cette nouveauté, signée chez l’éditeur Kana dans sa collection « Dark », avait vraisemblablement tout pour me plaire.

C’est donc avec beaucoup d’intérêt, que je me suis ruée sur le pack de démarrage, qui proposait les deux premiers tomes. Ma première impression était clairement la bonne : Je me suis régalée et j’ai très envie d’en voir plus !

Laissez-moi donc vous parler un peu plus en détails de ce qui m’a plu et séduite lors de ma découverte de Tôgen Anki !

Tôgen Anki

Titre original : Tougen Anki / 桃源暗鬼​

 

Titre alternatif : Tōgen Anki / Tôgen Anki : La légende du sang maudit

 

Auteur : scénarisé et dessiné par URUSHIBARA Yura

 

Éditeur français : Kana

 

Éditeur original : Shuukan Shounen Champion

 

Date de sortie : début au Japon en 2019, début en France le 04/02/2022

 

Nombre de tomes : 8 tomes au Japon et 3 tomes en France (série toujours en cours). Le tome 4 sera disponible chez nous en juin 2022.

 

Prix : 6,85€

Synopsis :

Une légende raconte qu’un enfant extrêmement fort serait né d’une pêche et baptisé Momotarô. Lorsqu’il devint assez grand et puissant, ce valeureux guerrier aurait chassé les Oni qui pillaient les villages.

 

Ce héros n’est pas une légende… et les Oni non plus !

Leurs descendants sont encore parmi nous et la bataille opposant le clan Momotarô au clan des Oni fait rage !

 

 

Shiki est un jeune garçon au sang chand. Alors qu’il vient de se faire renvoyer de l’école, des circonstances dramatiques lui font prendre conscience qu’il n’est pas comme les autres : En lui, coule du sang d’Oni ! En tant que démon, Shiki va devoir faire face au clan Momotarô, bien décidé à l’éliminer lui et tous les Oni.

La guerre légendaire prend un nouvel essor… et c’est loin d’être terminé !

Cette chronique a été réalisée après avoir lu le volume 1 et 2 de l’œuvre. Depuis, j’ai aussi lu le tome 3 mais cela ne change rien à l’avis global que je donne sur ce titre.

Sachez-le pour accrocher à un titre, il n’est pas forcément nécessaire pour moi d’avoir quelque chose de très original, qui change de l’ordinaire ou qui révolutionne le genre dans lequel ce nouveau titre s’inscrit. Sur ces points-là on peut dire que Tôgen Anki est une œuvre très conventionnelle, un shônen Nekketsu comme il en existe par centaines.

 

C’est la formule classique et c’est bien ça qui me plaît justement ! Je suis en terrain connu ce qui veut dire qu’avec Tôgen Anki je vais retrouver des schémas narratifs, des thèmes et des intrigues que je connais et qui me plaisent particulièrement, en apportant tout de même une identité et une esthétique qui lui est propre.

 

tôgen anki 01

Déjà, j’apprécie la rapidité et l’efficacité avec lesquelles on nous expose le scénario. Une exposition d’autant plus attrayante car en un seul chapitre, l’auteur a déjà distillé toutes les principales forces de son œuvre : Un protagoniste jeune et dynamique en la personne de Shiki, une révélation bouleversante sur sa réelle identité, une bonne mise en contexte donnant lieu à un premier combat aussi magnifiquement chorégraphié qu’il est impactant pour la suite pour finir par un déchaînement d’émotions diverses et variées pour bien nous entraîner dans l’histoire.

 

Voilà ce que j’appelle une excellente mise en bouche qui sait exactement comment faire mouche dès le départ !

L’une des qualités de Tôgen Anki réside dans sa patte graphique bien propre et maîtrisée. Sans pour autant encore une fois taper dans la case de l’originalité, graphiquement c’est bien sympa avec un dynamisme assez poussé dans les phases d’actions qui nous offre déjà de très belles illustrations en seulement deux volumes. Beau rendu également sur son côté violent et même assez trash sans abuser non plus ainsi que l’expressivité des personnages… bien qu’il ressort assez souvent des visages crispés sur la même expression. Cela m’a fait un peu tiquer je vous avoue de voir les personnages, et particulièrement Shiki, avec ce visage crispé en permanence et j’espère du coup que ça va se relâcher un peu par la suite.

 

Cela dit, il y a de quoi être tendu dans cette histoire de guerre entre le clan des Momotarô et le clan des Oni où il est question de survie pour les démons que l’on suit déjà avec beaucoup d’attention ! Il se dégage d’ailleurs une vision très arrêtée et manichéenne mais qui, je suis sûre, nous réservera quand même quelques surprises…

D’autre part, bien que le focus du scénario se centre sur le clan des Oni, il est déjà très intéressant et intriguant d’observer autant de diversité aussi bien sur le panel de personnages que sur leurs pouvoirs respectifs.

 

 

Non seulement on a des personnages déjà intéressants et attachants parmi lesquels certains brillent par leur charisme et leur personnalité (oui, je suis déjà très attachée à Shiki !) mais surtout, et c’est là le point qui m’a le plus interpellé, on a un système de pouvoirs très bien maîtrisé et propre à l’univers de Tôgen Anki.

Des démons qui manipulent leur sang ? Trop cool ! Rien qu’en deux tomes, on a déjà un très bel aperçu du potentiel et des grandes possibilités qu’offrent un tel pouvoir, très bien amené et expliqué de surcroît. En face, les Momotarô ont eux aussi droit à des pouvoirs spéciaux qu’ils opposent aux Oni avec talent, ingéniosité… et un soupçon de cruauté il faut bien le dire !

Je n’en dirai pas plus ici pour vous laisser la surprise de découvrir en détail ces pouvoirs qui, pour moi, font toute la différence et m’ont complètement séduite à la lecture.

En bref, Tôgen Anki m’apparaît être une lecture très fun et dynamique et surtout bien prometteuse. J’ai rapidement adhéré à l’ensemble des éléments présentés efficacement dans ces deux premiers tomes.

Sans jouer la carte de l’originalité, le titre pose des bases solides et attrayantes avec un rythme vraiment plaisant.

 

Entre séquences de combats, moments drôles et détente très school-life avec un panel de personnages attachants que l’on a envie de suivre et d’apprendre à connaître, Tôgen Anki nous propose un contenu très divertissant que j’ai eu grand plaisir à découvrir et dont il me tarde de découvrir la suite. J’en suis sûre : la série nous réserve de belles surprises.

 

Tôgen Anki avait effectivement tout me plaire et c’est sans aucune hésitation que je vous le recommande !

 

Oeuvres similaires à  Tôgen Anki ?

Comme je vous l’ai dit, beaucoup de choses dans Tôgen Anki m’évoquent d’autres œuvres que j’aime tout particulièrement. Voici pour les plus marquantes :

Déjà pour son caractère, son histoire, ses convictions et son côté cancre maladroit et un peu bêta qu’on aime quand même, Shiki me fait beaucoup penser à Rin Okumura de Blue Exorcist… en plus énervé. Je décèle un peu cette même sympathie et affection que j’ai pour Rin en Shiki et il me tarde de voir ce que ce protagoniste nous réserve. En soi Shiki est le héros de shônen type qui me plaît et du coup je pourrai aussi citer ses ressemblances avec Natsu de Fairy Tail ou encore avec Shinra de Fire Force.

 

Il est également question de maîtrise d’un pouvoir qui pourrait faire perdre le contrôle à son utilisateur. Là aussi tout comme Rin qui doit maîtriser ses flammes ou même comme Naruto devant faire sienne la puissance du démon qui sommeille en lui, Shiki se lance dans la compréhension et la maîtrise de son pouvoir, son propre sang, au risque de se laisser complétement engloutir par sa puissance et ses émotions.

 

Niveau thématiques aussi les deux œuvres ont beaucoup en commun. On peut également citer Tokyo Ghoul au sujet de combats entre deux factions que tout semble opposer. En effet à travers Tôgen Anki où les Oni doivent lutter pour ne pas se faire massacrer par les Momotarô, j’y retrouve cette même approche que la lutte terrible entre les goules et les inspecteurs humains du CCG. Shiki aura-t-il d’ailleurs un rôle à jouer pour que les deux bords vivent en harmonie ? L’avenir nous le dira…

Quant au côté school-life la première chose qui m’est venue en tête c’est ce rapprochement vie scolaire entrecoupée d’entraînements et de missions qu’on retrouve dans My Hero Academia ou même Soul Eater.

 

Je terminerai par dire que la légende de Momotarô était jusqu’il y a peu pour moi peu parlante. Et puis j’ai regardé l’anime assez sympa nommé Peach Boy Riverside qui a grandement contribué à me faire mettre du sens sur ce conte.

©2020 Yura Urushibara (AKITASHOTEN)

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Test : Horizon Fordidden West sur PS4 ! https://www.otakonseil.com/jeux-video/jeux-videos-sony/sony-tests/test-horizon-fordidden-west-sur-ps4/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=test-horizon-fordidden-west-sur-ps4 Thu, 10 Mar 2022 20:44:50 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12210 L’article Test : Horizon Fordidden West sur PS4 ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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Test : Horizon Fordidden West sur PS4 !

Le 28 Février 2017, une nouvelle licence voyait le jour avec Horizon Zero Dawn. Indéniable succès à sa sortie et remis au gout du jour récemment sur PC, voyons si ce deuxième volet intitulé Horizon Forbidden West parvient à transformer l’essai.

 Horizon Forbidden West

 

Genre : Aventure – Action-RPG

 

Développeur : Guerilla Games

 

Éditeur : Sony Interactive Entertainment

 

Supports : PS4 – PS5

 

Classification : 16+

 

Date de sortie : 18 Février 2022

Synopsis :

1000 ans après une apocalypse nucléaire, l’humanité est regroupée en petites tribus primitives et les machines font désormais office de faune locale. Vous incarnez pour la seconde fois Aloy, héroïne de tout un peuple, et êtes chargée de retrouver une copie de l’IA initialement destinée à la terraformation de la planète afin d’assurer la survie de tous.

Cette chronique a été réalisée après une vingtaine d’heures de jeu sur PS4

 

La nouvelle génération

 

Rendons immédiatement justice à la principale qualité de ce nouvel opus d’Horizon : le travail visuel. Jamais un décor n’aura été aussi grandiose, aussi profond, aussi saisissant de couleurs et de diversité. Il y aura bien un « avant » et un « après » Horizon Forbidden West, tant l’environnement inaugure ici ni plus ni moins que la nouvelle génération d’open world. Ce monde fourmillant de végétation, de vie (humaine, animale, mécanique) vous attire, vous enveloppe et vous pousse à l’explorer toujours un peu plus loin. Trop peu de jeux d’aventures peinent à accomplir cet exploit.

Le niveau de production du jeu aide aussi sur d’autres aspects. On peut citer notamment la modélisation des personnages, leurs expressions faciales, la qualité des dialogues et des doublages, mais aussi le soin apporté aux designs des fameuses machines qui, de la plus frêle à la plus imposante, participent au caractère « tangible » de cet univers.

Les thèmes musicaux sont, eux aussi, parfaitement choisis et s’adaptent de façon cohérente à l’image. En résumé, un travail artistique qui fait de ce titre un émerveillement entier et constant. Bravo et merci !

 

Standard mais efficace 

 

 
 
Côté gameplay, l’heure n’est pas à la révolution. Même si la galerie d’armes et le bestiaire se sont légèrement étoffés depuis Horizon premier du nom, ce deuxième volume est avant tout un RPG qui reste sagement dans la continuité de son prédécesseur. On retrouve également les standards de ce qui se fait actuellement dans le genre avec le fameux arbre de compétences à remplir à chaque niveau gagné ou chaque quête terminée. Chaque branche de l’arbre correspond à une spécialité et un nombre de points suffisamment dépensés débloque une capacité ultime.
 

Vous l’aurez compris, pas de quoi crier au génie. D’autant qu’une fois un certain niveau atteint, on se retrouve à jongler entre de très nombreuses capacités sans trop savoir laquelle utiliser. L’intention d’apporter de nouvelles mécaniques à la licence était louable mais de sa réalisation en ressort un sentiment d’ergonomie un peu brouillon.

 

Les combats ne manquent, quant à eux, pas de dynamisme grâce à une Aloy agile et maniable. Le problème, c’est que les machines le sont tout autant, parfois trop. Certains séquences d’affrontement, trop intenses, tombent dans la surenchère et deviennent un inintelligible pugilat. Cela en vient à nuire à l’aspect stratégique du jeu qui consiste normalement à utiliser certains effets élémentaux selon la sensibilité et les faiblesses des ennemis. Malgré une préparation minutieuse d’un combat, on se retrouve rapidement à esquiver dans tous les sens en espérant envoyer une flèche bien placée de temps en temps.

 

Pas de sentiment de surpuissance donc, une fois dans la peau de notre rouquine préférée. La volonté de corser l’expérience a été atteinte mais au détriment de la satisfaction manette en main.

Un « vrai » chapitre deux 

 

 

 
 

Remontons le temps de quelques années et rappelons ce qui a fait le succès d’Horizon : son originalité. Certes, le jeu n’a pas réinventé les codes du post-apo ou du RPG action-aventure en général. Mais il a réussi à s’inscrire efficacement et durablement dans le paysage vidéoludique à une époque ou celui ci se contentait de suites et/ou de remakes de licences préexistantes. Une prise de risque qui s’est avérée (heureusement) payante et à laquelle il faut rendre hommage. Ce deuxième chapitre est une excellente suite car il parvient à reprendre l’héritage de son prédécesseur, tout en continuant de développer son background et son univers. Le scénario nous emmène au delà des terres explorées lors du premier volet et nous propose une toute nouvelle aventure avec son lot de personnages et de rebondissements, sans aucun arrière goût de « déjà-vu ».

L’écriture sait se faire assez fine quand il le faut et, même si l’on retrouve certains poncifs inhérents à ce genre d’histoire, le personnage principal est immédiatement attachant tant par son caractère que par l’urgence et les enjeux de sa quête. La trame principale et la plupart des quêtes secondaires sont donc tout à fait satisfaisantes et l’immersion est au rendez vous. Une nécessité au regard de la durée de vie du jeu qui peut très vite devenir un gouffre temporel…

La note technique

Mention spéciale à cette relique d’un autre âge que serait devenue la PS4. Il s’agirait de ne pas la remiser tout de suite au grenier car, contre toute attente, celle ci se défend encore vaillamment. La résolution est excellente et le niveau de détails affichés à l’écran est très correct. Malgré un framerate parfois souffreteux et des textures qui ont tendance à clignoter lors des changements de scènes, l’expérience est globalement très bonne si l’on part du principe que cette vielle bécane fêtera bientôt ses 10 ans. Pas besoin donc, de casser sa tirelire dans l’immédiat pour une PS5 même si l’on attend avec impatience une sortie du jeu sur PC. Pas dans 4 ans, espérons-le !

 

L’avis du testeur sur Horizon Forbidden West

Voilà ce qu’il faut retenir : L’invitation ultime au voyage.

Là où la concurrence se casse régulièrement les dents, Horizon fait carton plein. Il est le véritable jeu d’aventure. Celui qui vous prend par la main et vous invite au dépaysement total. Mais loin de s’arrêter à sa plastique irréprochable, il accomplit le tour de force de proposer son propre univers, ses propres personnages, ses propres lois tout en reprenant les codes indispensables du genre.

Même s’il est loin d’être une révolution dans son gameplay ou dans son système de progression, Horizon Forbidden West est une pépite, un bijou, à découvrir et considérer comme le chant du cygne de la 8ème génération de consoles.

 

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3 anime de l’automne 2021 : La sélection de Lorelei ! https://www.otakonseil.com/films-series/asiatiques/asiatiques-animes/3-anime-de-lautomne-2021-la-selection-de-lorelei/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=3-anime-de-lautomne-2021-la-selection-de-lorelei Thu, 10 Mar 2022 19:20:35 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12191 L’article 3 anime de l’automne 2021 : La sélection de Lorelei ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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3 anime de l’automne 2021 : La sélection de Lorelei !

Entre adaptation de manga que j’aime et pures découvertes, cet automne, je me suis régalée malgré le peu d’anime que j’ai regardé.

C’est un peu tardif comme débriefing mais aujourd’hui j’ai envie de vous présenter les 3 anime de l’automne que j’ai le plus apprécié !

Mieruko-chan

Une vision d’horreur réussie

 

Nombre d’épisodes : 12 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Wakanim

 

Période de diffusion : du 03/10/2021 au 19/12/2021

 

Studio(s) : Passione

 

Synopsis :

​Un jour, Miko, une adolescente sans histoire, devient brusquement capable de voir des êtres étranges et monstrueux que personne d’autre ne peut percevoir.

Elle qui n’est qu’une jeune fille ordinaire prend alors son courage à deux mains pour accomplir l’impossible : faire comme si elle ne les voyait pas.

 

Entre horreur et comédie, découvrez le quotidien terrifiant et pourtant si attachant de Miko !

 

Mes impressions :

 

Comme je vous en ai déjà parlé en détail dans ma chronique, j’aime beaucoup le manga Mieruko-chan Slice of Horror, véritable surprise mêlant habilement les genres de l’horreur, du slice of life et de la comédie, le tout avec une patte graphique des plus percutante.

Quelle ne fût donc pas ma surprise en apprenant que le manga allait recevoir une adaptation animée prévue en pleine période d’Halloween !

 

Mais alors qu’ai-je pensé de l’anime Mieruko-chan ? Et bien j’ai plutôt bien apprécié mon visionnage qui m’aura fait passer un très bon moment dans une ambiance aussi terrifiante qu’hilarante mais aussi… un peu gênante.

Belle esthétique que ce soit sur le chara-design de nos personnages attachants que sur l’aspect terrifiant plutôt convaincant des monstres, l’anime a un bon rythme narratif et a su apporter des changements d’ordre dans les évènements par rapport au manga mais en restant cohérent. La série dispose également d’une bonne animation et d’un casting sympathique. Personnellement, je me suis rapidement mise dans l’ambiance assez angoissante qu’a su installer la série.

On va dire que la seule ombre au tableau concerne l’emploi assez insistant d’un fan-service qui peut s’avérer gênant au visionnage. Tandis que dans le manga, à la lecture, je trouvais assez facile de passer outre certaines scènes racoleuses. Ici l’anime nous met sous le nez pendant des laps de temps assez variables bien plus de ces moments fan-service qui, en plus d’être parfois lourds et désagréables, cassent l’ambiance et le rythme de la narration. Chacun aura son ressenti là-dessus.

 

Malgré tout, l’anime Mieruko-chan reste une bonne adaptation et saura capter votre attention avec autant de scènes mystérieuses et horrifiques que de moments émotionnellement très forts et touchants. Cela reste une série sans prise de tête, assez détente que je vous recommande aussi bien en anime qu’en manga !

Takt Op. Destiny

Musique, Maestro !

 

Nombre d’épisodes : 12 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Crunchyroll

 

Période de diffusion : du 05/10/2021 au 21/12/2021

 

Studio(s) : MAPPA x Madhouse

Synopsis :

L’histoire se déroule en 2047 dans un monde où la musique ne peut pas être pratiquée librement car elle attire des monstres appelés « D2 ». Ces monstres ont émergé sur Terre suite à l’écrasement d’une météorite il y a des années. Ils sont attirés par la musique qu’ils détestent et ont l’intention de détruire toute source musicale.

Pour combattre les D2, des filles nommées « Musicarts » tirant leur pouvoir de la musique sont apparues et sont dirigées par des humains appelés « Conductor ».

 

Nous suivons ainsi l’histoire de Takt, un jeune homme musicien et Destiny une Musicart qui a noué des liens très particuliers avec Takt. Dans l’espoir de raviver la musique, notre duo va devoir lutter contre les D2 et d’autres périls…

 

Mes impressions :

 

Cet automne j’ai aussi eu le plaisir de découvrir un tout nouvel anime dont les premiers visuels et trailer m’avaient vraiment mis l’eau à la bouche et pour cause : une collaboration de deux studios d’exception à savoir MAPPA et Madhouse ?! Cela promettait de la haute qualité d’animation. La promesse sur cette série, c’était très exactement que, tour à tour, l’un ou l’autre studio se charge d’un épisode.

Mine de rien, au début, je faisais vraiment attention à cette alternance et cela m’a permis de déceler tout le potentiel de cette série en terme purement esthétique : Takt Op. est un véritable plaisir visuel avec ses chara-design soignés et hauts en couleurs et surtout pour son animation impeccable de bout en bout.

 

L’épisode 1 qui sert d’introduction est une belle démonstration de ce qui nous attend par la suite et là-dessus l’anime remplit son contrat haut la main tant c’est fluide et très bien rythmé techniquement.

Pour la forme rien à dire donc… mais c’est au niveau du fond qu’on peut dire davantage de choses :

Je dois dire qu’au début, je trouvais l’anime bien mystérieux tant il nous apprenait peu de choses sur l’intrigue et l’univers de l’œuvre. Petit à petit on obtient nos premiers éléments de réponses et pour ma part j’ai vraiment bien accroché à l’histoire dans son ensemble.

Le point fort pour moi de Takt Op Destiny aura été son thème central : la musique. Musicalement parlant, l’anime m’a transportée, envoûtée même. L’invitation au voyage à travers des morceaux de musique classique, le choix des morceaux, la sonorité ont été pour moi un véritable bonheur tant la série a su insuffler en moi plaisir et émotions très fortes.

On pourra cependant reprocher à la série d’aller un peu vite sur sa fin et surtout en tant qu’œuvre cross-média de ne pas aller plus loin car oui : si vous voulez en savoir davantage sur l’univers de Takt Op Destiny, l’anime n’est en fait qu’une introduction vers le jeu vidéo.

 

Une belle entrée en matière de 12 épisodes que j’ai particulièrement appréciée en tout cas ! Malgré cette fin ouverte un peu amère vers l’invitation au jeu, j’ai adoré mon visionnage et l’anime m’a donné pleinement satisfaction. Une très belle série qui m’aura procuré ma dose d’action et d’émotion de la saison !

Ranking of Kings

Un coup de coeur royal !

 

Nombre d’épisodes : 23 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Wakanim et Crunchyroll 

 

Période de diffusion : du 14/10/2021 au … (toujours en cours)

 

Studio(s) : Wit Studio

Synopsis :

Le royaume de Boss est en péril. Son fondateur, connu pour sa force herculéenne, est gravement malade, et l’héritier, le jeune prince Bojji, est loin d’avoir le profil pour prendre sa place…

Sourd et muet, d’une faiblesse telle qu’il est incapable de manier l’épée, il est la cible de toutes les moqueries. S’il accède au trône, le pays est promis à la déchéance dans le classement des rois dont le principal critère est la puissance des souverains. De ce point de vue, c’est le prince cadet, Daida, qui remporte le soutien populaire…

 

Pourtant, Bojji arbore un éternel sourire. Même quand une mystérieuse ombre lui ordonne de lui donner ses vêtements, il s’exécute avec plaisir ! Car, pour la première fois de sa vie, le garçon trouve un partenaire de conversation. Cet étrange voleur comprend ses paroles… Bojji lui dévoile alors son rêve :

Devenir le meilleur roi du monde !

 

Mes impressions :

 

La révélation de cet automne est un anime que j’attendais avec impatience, totalement conquise par ses trailer grâce à sa direction artistique qui sort clairement du lot. D’ailleurs, qu’il est plaisant de voir le studio Wit à la baguette et nous livrer une DA magnifique et originale !

Ranking of Kings a donc été pour moi une véritable claque dès le premier épisode et n’a cessé de m’émerveiller, de m’émouvoir et de me surprendre au fil des épisodes. Je précise d’ailleurs qu’à l’heure où j’écris cette chronique la série est toujours en cours.

Une œuvre incroyablement riche de par son univers de fantasy médiévale, ses personnages variés, profonds et hauts en couleurs et la puissance de ses thèmes abordés. Et tout ça servi par une animation soignée ainsi qu’une bande-son vraiment chouette.

 

A propos des personnages, je suis obligée de vous parler de Bojji ! Ce petit bonhomme m’a immédiatement faite craquer avec sa petite bouille ronde et son expressivité qui parvient à nous toucher naturellement. Qu’il est plaisant et parfois bouleversant de suivre ses aventures, le voir grandir et évoluer pour atteindre son rêve. Je parle de Bojji mais tous les personnages qui gravitent autour de lui sont intéressants et attractifs, nous réservant pour certain bien des surprises.

Plusieurs fois on se méprend sur le compte des personnages et progressivement on s’attache… en découvrant qu’on était complètement à côté de la plaque à leur sujet ! Ranking of Kings c’est un pur concentré de surprises et de rebondissements : on ne sait jamais à l’avance ce que nous réserve l’histoire.

Pour revenir à la direction artistique, je vous avertis tout de suite : Les dessins enfantins, le style dessin animé pour enfant ne sont que la face visible de l’iceberg. D’apparence, la série semble douce avec ses jolies couleurs, son ambiance sonore bien souvent jouée à la flûte quand on suit Bojji. A-t-on donc affaire à un anime mignon et gentil ?

Non.

Exactement comme avec les personnages, il faut se méfier des apparences car l’univers de Ranking of Kings nous propose un univers de fantasy bien sombre, cruel et brutal. Entre flashback larmoyant, scènes très dures et violentes et révélations choquantes par leur cruauté, la série ne nous épargne rien tant elle parvient à nous faire ressentir diverses émotions. Je vous jure qu’il y a de tout : des scènes qui brisent le cœur, des moments violents qui vous feront frémir, des révélations qui vous choqueront sans parler de certaines scènes assez traumatiques qui resteront gravées dans vos mémoires.

 

Conspiration, massacres, génocide, mutilations, harcèlement, handicap et guerre. Voilà ce qui rythme le déroulé de l’histoire, le tout saupoudré de combats sanglants et de sombres mystères auxquels va devoir faire face notre petit prince pour un jour devenir le plus grand de tous les rois !

Il me tarde de continuer l’anime et il me tarde également de voir arriver cette pépite de dark fantasy dans sa version manga, ce qui est prévu prochainement (avril 2022).

En bref, je suis totalement tombée sous le charme de Ranking of Kings que je vous recommande chaudement !

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Chronique: BNA : Brand New Animal : « Ton existence est dangereuse. » https://www.otakonseil.com/films-series/asiatiques/asiatiques-animes/brand-new-animal-un-anime-qui-vous-donnera-le-sourire/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=brand-new-animal-un-anime-qui-vous-donnera-le-sourire Mon, 10 Jan 2022 09:35:21 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12090 L’article Chronique: BNA : Brand New Animal : « Ton existence est dangereuse. » est apparu en premier sur Otakonseil.

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Chronique: BNA : Brand New Animal : « Ton existence est dangereuse. »

Intéressons-nous à BNA: Brand New World. Cet animé présentant un monde où existe à la fois des humains et des hommes-bêtes a été très populaire à sa sortie sur Netflix courant 2021.

BNA: Brand New World

Titre japonais: BNA ビー・エヌ・エー​

 

Titre romanisé: BNA : Brand New Animal

 

 

 

Studio: Trigger

 

Auteur Original: Yoh Yoshinari

 

Date de sortie: 8 avril 2020

 

Épisodes: 12

 

Simulcast: Netflix

 

Genre: Action, Comédie, Science fantastique

 

Synopsis :

BNA se déroule au 21e siècle, au cours duquel l’existence d’animaux humanoïdes a été révélée au monde alors qu’ils vivaient jusque là dans l’obscurité depuis des siècles.

Un jour, une lycéenne nommée Michiru se transforme soudainement en un tanuki humanoïde. Vivant dans la ville d’Anima, elle y fait la rencontre d’un loup du nom d’Ogami Shiro. Ensemble ils vont enquêter sur les raisons pour lesquelles Michiru est devenue un animal.

[Cette chronique a été réalisée avec passion.]

 

Lycéenne sans histoire fan de basket, Michiru aime beaucoup passer du temps avec sa meilleur amie Nazuna.

Elle et son amie avaient de grands rêves… Michiru souhaitait entrer dans une grande équipe de basket et Nazuna voulait devenir une pop-star.

Malheureusement, Nazuna se transforma du jour au lendemain en animal sans aucune raison. Le lendemain, Michiru aperçoit d’étranges hommes emmener son amie dans un van et ne l’a plus revu depuis.

Quelques jours plus tard, Michiru se transforma brutalement en tanuki, l’isolant du monde des humains. C’est à partir de là qu’elle entend parler d’AnimaCity. Sur un coup de tête, elle décida de s’y rendre.

Plus l’histoire avance et mieux on comprend les véritables intentions de Michiru. On suit son évolution et ses combats contre un monde parfois injuste.

On se sent parfois à la place du personnage principal, ce qui nous permet de créer un véritable lien avec Michiru.

L’anime nous fait traverser divers émotions tout au long de l’histoire. Chaque personnage à son propre caractère et cela nous permet d’avoir de l’affection pour chacun d’eux.

Ce qui est étonnant avec BNA, c’est l’aspect visuel notamment la palette de couleurs qui nous met dans l’ambiance de chaque action. On a droit à des scènes avec des tons chauds lors des moments de joie, et des tons froids dans les moments de mélancolie.

BNA mérite vraiment le détour et je vous le recommande !

À qui s’adresse BNA ?

 

Fan d’animes fantastique, comique et dynamique ?

Cet anime est fait pour vous ! L’histoire est très entrainante et ne vous laissera pas le temps de vous ennuyer.

 
 
 

Œuvres similaires ? 

Si vous êtes fan des animes psychologiques basés sur les discriminations sociétales dans un monde avec des anthropomorphes, je vous recommande Beastars !
beastars louis edit | Tumblr

Où visionner l’anime ?

Vous trouverez tous les épisodes sur Netflix !

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JUMP FESTA 2021 : Les annonces de la hype ! https://www.otakonseil.com/articles/jump-festa-2021-les-annonces-de-la-hype/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=jump-festa-2021-les-annonces-de-la-hype Thu, 06 Jan 2022 10:43:23 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=12120 L’article JUMP FESTA 2021 : Les annonces de la hype ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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JUMP FESTA 2021 : Les annonces de la hype !

Les 18 et 19 décembre 2021 s’est tenue la fameuse JUMP FESTA, évènement très populaire auprès de la communauté anime et manga et qui fourmille d’annonces et informations diverses au sujet de nos œuvres du JUMP favorites.

Comme vous pouvez vous en douter, j’ai suivi cet évènement d’assez près et aujourd’hui je compte partager avec vous quelques annonces bien croustillantes qui ont été faites concernant des œuvres que j’aime tout particulièrement !

Etes-vous prêts pour un vrac d’informations ? Et bien c’est parti !

Chainsaw Man

Résumé des annonces :

C’est au terme d’une assez longue interview de Tatsuki Fujimoto que nous apprenons à travers un incroyable trailer que la reprise du manga est prévue pour l’été 2022 !

Peu de nouvelles informations concernant l’anime à part qu’il est toujours prévu pour 2022. Nous avons aussi eu droit à un nouveau petit pv.

 

Restons donc à l’affût des prochaines informations qui devraient arriver d’ici quelques mois avec, je l’espère, date et casting des personnages principaux.

Retrouvez notre dossier sur la première partie du manga Chainsaw Man ici même !

Hell’s Paradise

Résumé des annonces :

Ma deuxième plus grosse attente de cette JUMP FESTA c’était d’enfin avoir des informations sur l’adaptation de Hell’s Paradise. Après 1 an de silence, nous avons eu un trailer et un premier visuel. Tout ça est très alléchant !

 

Avec le studio MAPPA à la baguette, l’anime est pour le moment prévu pour l’automne 2022.

My Hero Academia

Résumé des annonces :

Le répit est de courte durée pour nos apprentis héros ! Après une saison 5 incroyable et un 3ème film qui a cartonné au Japon, My Hero Academia sera de retour pour une 6ème saison en 2022 et toujours entre les mains du studio BONES !

 

On apprend aussi de la part de l’auteur Kohei Horikoshi que si tout se passe bien, le manga devrait se terminer cette année. Tout se met en place pour l’apothéose et le combat final du bien contre le mal !

Spy x Family

Résumé des annonces :

L’adaptation anime se précise encore un peu plus avec un nouveau trailer bien sympa qui nous révèle par la même occasion une autre partie du casting avec les voix de Yor et de la petite Anya.

 

Rendez-vous en avril 2022 !

Retrouvez notre chronique sur le manga Spy x Family ici même !

Jujutsu Kaisen 0

Résumé des annonces :

Encore un nouveau trailer pour le film ?! Bon ok on prend, car si le film est actuellement en cours de diffusion dans les salles japonaises, pas l’ombre d’une date d’arrivée en France…

 

On voit énormément de choses dans ce trailer et vraiment je suis impatiente de voir ce film qui promet du lourd !

Retrouvez notre chronique sur l’adaptation animée de Jujutsu Kaisen ici même !

Dr Stone

Résumé des annonces :

Retour également de Dr Stone pour l’été 2022 avec un OAV centré sur le personnage de Ryusui !

 

Mais ce n’est pas tout car en 2023 Senku et tous les autres seront de retour pour une 3ème saison qui promet d’être follement excitante !

Ainsi s’achève mon tour d’horizon des annonces que j’attendais. Il y a eu beaucoup d’autres annonces et informations sur d’autres séries, mais ce sont vraiment celles développées ci-dessus qui ont retenues mon attention. Sur ce, il ne nous reste qu’à patienter.

 

Avec tout ça, l’année 2022 s’annonce vraiment grandiose !

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Test : Marvel’s Guardians of the Galaxy sur PC, aussi bien que les films ? https://www.otakonseil.com/articles/test-marvels-guardians-of-the-galaxy-sur-pc-aussi-bien-que-les-films/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=test-marvels-guardians-of-the-galaxy-sur-pc-aussi-bien-que-les-films Wed, 24 Nov 2021 22:29:02 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=11853 L’article Test : Marvel’s Guardians of the Galaxy sur PC, aussi bien que les films ? est apparu en premier sur Otakonseil.

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Test : Marvel’s Guardians of the Galaxy sur PC, aussi bien que les films ?

Proposer sa version des Gardiens de la Galaxie en jeu vidéo après la masterclass de James Gunn pour Marvel Studios, voilà le défi qu’a voulu relever Square Enix.

Marvel’s Guardians of the Galaxy

 

Genre : Aventure, action

 

Développeur : Eidos Montréal

 

Éditeur : Square Enix

 

Supports : PC, PS4, PS5, Xbox One, Xbox Series X, Nintendo Switch, GeForce Now

 

Classification : 16+

 

Date de sortie : 26 octobre 2021

Synopsis :

Alors qu’une guerre vient de ravagée la galaxie, beaucoup cherche à tirer profit de cette situation chaotique, dont les Gardiens de la Galaxie. Après le pillage d’une épave, les mercenaires spatiaux vont se retrouver dans une série d’événements qui ne vont qu’aggraver leur situation.

Qui ne connait pas les Gardiens de la Galaxie après le succès des films du MCU ? Plus personne, probablement. En tout cas, tout le monde a une image de cette équipe de bras cassés intergalactiques, et c’est un pari culotté que de vouloir les adapter en jeu, sans subir la comparaison avec les films de James Gunn. Pour autant, Eidos Montréal et Square Enix s’en sort plutôt pas mal pour ce qui est de concurrencer Chris Pratt et sa bande de Marvel. En revanche, pour concurrencer les autres jeux d’aventure, ça n’est pas la même histoire.
 
 
 
 
 
 
 
 

Dès les premières minutes de jeu, l’ambiance est installée en nous faisant incarner le jeune Peter Quill, encore dans son lit, à écouter le groupe de rock fictif Star-Lord. Dans la chambre, tout nous rappelle que nous sommes dans les années 80, les dés de jeu de rôle, les posters de films, les figurines Star Wars. Le jeu nous laisse le temps de nous balader, d’explorer, avant de nous mettre dans la peau de Peter Quill adulte. Face à son miroir, dans sa cabine privée du vaisseau le Milano, c’est à peu près la même ambiance que dans sa chambre d’enfant, les figurines, les posters et les goodies des années 80. Notre héros est, comme dans les films, un nostalgique de ces années jeunesses, mais ça c’était déjà dans le comics.

Après une balade dans le vaisseau, la première mission commence, action, cinématique, action, cinématique, on a peine le temps de se rendre compte que l’histoire nous embarque dans une aventure qui ne fait que partir en folie. Cherchant à résoudre les situations avec des solutions qui ne font qu’empirer la catastrophe, les Gardiens de la Galaxie passent plus que jamais pour des nazes, mais qui savent se battre.

La personnalité de chaque Gardien est bien prononcée, à l’écriture travaillée et pas caricaturale, ce qui donne lieu à des dialogues savoureux. Très bavard, le jeu n’en est pas pour autant assourdissant, ma peur en voyant les premiers extraits. À la manière des comics où les personnages parlent pendant les combats, les Gardiens se charrient entre eux et se provoquent, donnant des échanges extrêmement bien écrits et naturels qui font honneur aux comics originels.

Plusieurs fois, je me suis surpris à rire naturellement, comme devant une bonne scène de film. Les dialogues sont justes, les situations absurdes et la façon qu’a chaque Gardien de la commenter rend les cinématiques et les dialogues « d’habillages » géniaux. La qualité des répliques est telle que le brouhaha des combats masquant ceux-ci nous ferait presque regretter presque toute cette action.

Les répliques savoureuses, et pas uniquement drôles, amènent des moments intimes mettant en avant l’histoire des héros, leurs cassures intérieures et leurs regrets. Grâce au fantastique travail des doubleurs, chaque personnage est mis à l’honneur, comme l’écriture des scénaristes. Mention spécial à Rocket Raccoon qui bénéficie d’un doubleur VF incroyable.

Les péripéties des Gardiens de la Galaxie les conduisent à travers le cosmos à la rencontre de personnages forts dans des chapitres qui prennent le temps d’installer la situation. La campagne promotionnelle du jeu avait déjà dévoilé quelques rencontres inédites aux films que feront les Gardiens dans le jeu, à savoir Raker, Lady Hellbender et d’autres. C’est donc un plaisir de découvrir ces personnages en dehors de leurs cases sur papier, mis en scène dans des graphismes superbes. Que ce soit lumière, animations, expressions de visages, le jeu est magnifique, et on en attendait pas moins de Square Enix. Même les visages, qui ne sont pas ceux de Chris Pratt, Zoe Zaldana ou Dave Bautista, sont suffisamment réussis pour nous faire oublier qu’on aurait aimé voir la tête des acteurs.

L’ambiance musicale est également pleine de références aux eighties, avec les artistes les plus connues de l’époque comme Wham, Hot Chocolate ou Simple Minds. À savoir qu’un mode streamer retire toutes les musiques non libre de droits, un paramètre bien venu pour permettre au jeu d’être diffusé.

Pourtant, toute cette bonne volonté de faire un jeu fidèle à l’univers des Gardiens, tout en proposant sa vision, se heurte à un gameplay pas fou. Les combats vous font incarner Star-Lord dirigeant l’équipe constituée de l’assassine Gamora, du guerrier Drax, de l’expert en explosifs Rocket et de l’arbre Groot, et c’est à vous de décider quand ils lancent leurs attaques spéciales. Via une succession de touches vous ordonnez à vos camarades de foncer dans la bataille pour faire LE coup qui fait mal. Malheureusement, ça part vite en tout le monde tape, et on comprend plus grand choses.

Le problème est que les nombreux effets pyrotechniques, bien que très beaux, empêchent la lisibilité dans des combats se passant en mêlée générale. On perd vite le fil, et finalement les bagarres font écho aux parties de jeu de rôle qu’on peut faire où un plan est planifié mais très vite abandonné. La stratégie la plus simple s’avère être « on envoie tout le monde taper« . Pour les boss ça changent un peu puisqu’ils demandent un ordre plus précis dans les combos d’attaques spéciales à exécuter. Cela n’enlève pas le bazar que ce sont les bastons, souvent longues, auxquelles on préférera finalement les cinématiques.

Si les combats ne sont pas brillants comme les dialogues et le scénario, on compensera avec les skins délivrables en découvrant les caisses « cachées » au détour d’un couloir. Car oui, le jeu n’est pas un monde ouvert, ou semi-ouvert, à la Star Wars : Fallen Order, c’est un jeu purement linéaire qui s’apprécie comme un film avec des phases où on joue à la bagarre, et où on améliore nos personnages dans un atelier.

En bref

Si vous n’en pouvez plus d’attendre le prochain film Gardiens de la Galaxie (parce que ça sera dans un an), Marvel’s Guardians of the Galaxy saura vous contenter. L’ambiance, le scénario, les dialogues sont un bel hommage aux personnages et proposent des ratés, aussi attachants que leurs homologues de Marvel Studios, enchaînant les catastrophes. Là où ça fonctionne pas c’est dans les phases de jeu, même si elles restent jouables et défoulantes, on est pas dans un combat tactique de haute-volée, sans pour autant tomber dans la mélasse de Marvel’s Avengers.

Marvel’s Guardians of the Galaxy est un bon jeu narratif, au point qu’on dirait presque que c’était la volonté initiale de Square Enix, car on trouve des restes de choix à faire (qui n’apporte strictement rien). Si vous êtes fan des Gardiens, vous rirez de bon cœur face aux pitreries de Rocket, à la naïveté de Drax, à l’ego malmené de Star-Lord, au vocabulaire développé de Groot et aux répliques tranchantes de Gamora, dans leurs aventures délirantes.

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3 anime de l’été 2021 : La sélection de Lorelei ! https://www.otakonseil.com/films-series/asiatiques/asiatiques-animes/3-anime-de-lete-2021-la-selection-de-lorelei/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=3-anime-de-lete-2021-la-selection-de-lorelei Mon, 15 Nov 2021 20:37:00 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=11826 L’article 3 anime de l’été 2021 : La sélection de Lorelei ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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3 anime de l’été 2021 : La sélection de Lorelei !

Qui dit été dit vacances et donc du temps à tuer en distractions ! Malgré tout, pour moi, ça aura été une saison plutôt tranquille avec des séries qui se sont poursuivies depuis le printemps (et dont je vous ai déjà parlé) et finalement assez peu de nouveautés saisonnières qui ont suscité mon intérêt.

En plein cœur de l’automne, je reviens quand même vous donner mes impressions sur 3 anime que j’ai beaucoup aimé durant la période estivale !

Re-Main

Un anime de sport très sentimental…

 

Nombre d’épisodes : 12 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Wakanim

 

Période de diffusion : du 03/07/2021 au 02/10/2021

 

Studio(s) : MAPPA

 

Synopsis :

L’hiver de son année de troisième, alors que Kiyomizu Minato rentre chez lui après avoir remporté un tournoi national de water-polo, un accident de voiture le plonge dans le coma.

 

Lorsqu’il se réveille enfin 203 jours plus tard, il n’a plus aucun souvenir des trois dernières années. Il entre au lycée Yamanami dans l’espoir d’entamer une nouvelle vie loin du water-polo, mais suite à une promesse, il va replonger dans ce sport avec ses nouveaux amis.

 

Malheureusement, le club de ce lycée est petit et bien des difficultés les attendent…

 

Mes impressions :

 

Production originale signée MAPPA, Re-Main nous entraîne à la découverte d’un sport assez peu médiatisé : le water-polo !

Ainsi, à l’image d’un autre tout récent anime de sport dont je vous ai déjà parlé à savoir Burning Kabaddi, je m’attendais à véritablement découvrir toutes les facettes et subtilités de ce sport à travers des entraînements et matchs palpitants… ce qui n’a pas vraiment été le cas !

En effet, il s’avère que le Water-Polo n’a été qu’une sorte de toile de fond servant à réunir les divers personnages de la série. Malgré le côté anecdotique de l’anime de sport, je me suis pourtant bien amusée à regarder cette série grâce justement à son panel de personnages véritablement attachant et sympathiques à suivre au fil des épisodes.

Bonne ambiance, rigolade, moments de tension et surtout drame ont ainsi ponctués mon visionnage et tout ça servi avec une très belle réalisation et animation et de chouettes chara-design. Laissons de côté le fait que finalement ont ai vu très peu de Water-Polo car après tout, en y réfléchissant, ça semblait normal puisqu’on a assisté à la création d’une équipe inexpérimentée dans ce domaine.

 

Je dois dire que je me suis relativement bien prêtée au jeu de cet anime tant il m’a fait ressentir beaucoup d’émotions en suivant les péripéties de Makoto, notre héros amnésique. A travers ce protagoniste, on a ainsi pu explorer des thématiques assez intéressantes qui ont fait de Re-Main un anime dramatique plutôt qu’un anime de sport mais pas déplaisant pour autant.

La fin de cette série de 12 épisodes est satisfaisante d’une part parce qu’on assiste enfin à un vrai match de Water-polo ce qui nous apporte finalement une sorte de récompense en tant que spectateurs, mais c’est aussi une bonne conclusion à l’intrigue sur Makoto et sa relation avec ses camarades, mettant un point final à cette production exclusive courte, mais plaisante.

 

Heion Sedai no Idaten-tachi

Guerre explosive entre dieux et démons !

 

Nombre d’épisodes : 11 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Crunchyroll

 

Période de diffusion : du 22/07/2021 au 30/09/2021

 

Studio(s) : MAPPA

Synopsis :

Il y a environ 800 ans, les dieux sont apparus lorsque l’humanité était au bord de la destruction à cause des démons. Pour contrer cette menace, des divinités nommées Idaten ont combattu et scellé les démons.

 

Aujourd’hui, cette bataille est si loin qu’on l’évoque comme un mythe ou une légende. La nouvelle génération d’Idaten n’a jamais eu à se battre et profite d’une vie tranquille.

 

Mais les démons viennent de se réveiller…

 

Mes impressions :

 

On va encore parler d’un anime signé par le studio MAPPA, mais cette fois il s’agit de l’adaptation d’un manga non édité en France et qui pour ma part m’était totalement inconnu. Les premières affiches promotionnelles ne m’inspirait pas tellement confiance il faut bien l’avouer… c’est vraiment à partir du visionnage des trailer que la hype est montée d’un cran avant finalement d’enfin voir le premier épisode de l’anime.

Je me suis pris une incroyable claque. J’en ai encore des frissons rien qu’à vous en parler tellement ce premier épisode m’a fait l’effet d’une bombe. A propos de bombe, je vais tout de suite vous dire que pour moi Heion Sedai no Idaten-tachi a signé le meilleur opening de cet été que ce soit visuellement ou musicalement !

 

Que ce soit clair, j’ai adoré cet anime ! Je m’en vais vous exposer point par point pourquoi : Pour commencer, c’est un anime qui selon moi mérite d’être vu rien que grâce à sa direction artistique originale et inventive. C’est très coloré, flashy et la palette de couleurs peut même varier d’une scène à l’autre, propice pour souligner les changements d’ambiance et pour mettre en valeur les personnages. A cela s’ajoute une qualité d’animation absolument grandiose et époustouflante, très marquée et très impactante. On en prend plein les yeux !

D’autre part, une autre qualité de Heion Sedai no Idaten-tachi qui aura encore plus contribué à me faire apprécier la série, c’est son casting de voix d’exception. Des seiyuu connus et talentueux dont les voix sont parfaitement reconnaissables et qui en plus collent super bien à leur personnage respectif. Comme quoi, il ne suffit pas juste d’un bon chara-design pour s’attacher à un personnage. Il faut aussi une voix qui lui va et qu’on apprécie et je peux vous dire que l’anime a très bien remplir le contrat en nous proposant un panel de personnages haut en couleurs, charismatique et vraiment attrayant.

Au niveau de la forme, on tient donc une série remarquable. Et sur le fond qu’est-ce que ça donne ? Le scénario qui se déroule sous nos yeux est à la fois intriguant et captivant. J’avais l’impression que les épisodes passaient trop vite !

 

Je pose quand même ici un avertissement : cet anime n’est pas pour tout le monde ! Il est à la fois violent, gore et vraiment très explicite pour son contenu à caractère sexuel. Alors oui, c’est bourré d’action, à l’écran ça en jette et les personnages sont cool mais il vaut mieux que vous soyez préparé pour les scènes de sexe à peine censurées, avec consentement ou non. Ça surprend c’est sûr, dans le bon comme dans le mauvais sens du terme.

 

Pour ma part en tout cas, pour tout ce que je vous ai dit, cet anime m’aura vraiment marqué et j’espère de tout cœur que l’on aura droit à une suite. Non seulement c’était court (l’anime fait seulement 11 épisodes) mais en plus la série s’achève sur un cliff-hanger choquant et bouleversant qui vous fera connaître, à vous aussi, le goût de la frustration.

The Duke of Death and his Maid

Un amour impossible ?

 

Nombre d’épisodes : 12 épisodes

 

Plateforme(s) de diffusion : Wakanim

 

Période de diffusion : du 04/07/2021 au 19/09/2021

 

Studio(s) : J.C. Staff à la production, Shogakukan Music & Digital Entertainment à l’animation

Synopsis :

Dans un grand manoir vit un jeune homme, un aristocrate qui a été maudit par une sorcière. A cause de ce sort, le Duc tue et détruit toute chose vivante qu’il touche.

Vivant désormais dans un endroit reculé, le Duc est accompagné d’Alice, sa servante qui aime le taquiner et l’embarrasser. Étant très proche d’elle, ne pas pouvoir la toucher est douloureux pour le jeune homme.

S’ils ne peuvent même pas se tenir la main, comment leur amour pourra-t-il s’épanouir ?

 

Mes impressions :

 

Une bonne surprise que cette production aussi originale que surprenante ! A vrai dire, je n’étais pas spécialement partie pour regarder cet anime cet été mais j’ai fini par y jeter un œil… et c’est sans regret qu’il est devenu mon anime préféré de la saison et ça pour plusieurs raisons.

Déjà commençons par ce qui saute aux yeux à savoir sa direction artistique et son animation. Duke of Death est un anime quasi exclusivement produit en cgi, animation assistée par ordinateur pour un rendu en 3D assez particulier. Il va s’en dire que tous n’apprécieront pas ce type d’animation mais pour ma part j’ai trouvé la production d’assez bonne facture à tel point qu’à certains moments je ne faisais plus attention à la cgi. D’autre part, j’ai trouvé très intéressant le fait d’avoir un anime dans cette 3D mais aussi avec une animation plus traditionnelle réservée aux moments de flashback du Duc et d’Alice.

 

Pour ce qui est de l’histoire, j’ai passé un très bon moment devant cet anime : à la fois très drôle, très touchant et un poil dramatique, Duke of Death nous emmène dans son univers aussi charmant que singulier avec son atmosphère romantique et surnaturelle. J’ai été complètement séduite par le scénario tout comme par les personnages principaux et secondaires qui ont insufflé beaucoup de vie et de chaleur à cet anime. Le casting est très bon et niveau musique je me suis régalée avec tous ces airs au piano. L’opening chanté par les seiyuu du Duc et d’Alice est également très chouette et l’opening dans une esthétique bien différente a su me ravir visuellement et musicalement.

 

On ressent moult émotions durant le visionnage des 12 épisodes qui ont composé cette saison 1 car oui : Nous aurons la joie de revoir Alice, le Duc et tous les autres personnages de la série au cours d’une saison 2 qui a  déjà été annoncée. J’ai vraiment hâte de les retrouver !

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Test : NEO : The World Ends With You sur Playstation 4 ! https://www.otakonseil.com/jeux-video/jeux-videos-sony/sony-tests/test-neo-the-world-ends-with-you-sur-playstation-4/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=test-neo-the-world-ends-with-you-sur-playstation-4 Tue, 12 Oct 2021 09:42:37 +0000 https://www.otakonseil.com/?p=11466 L’article Test : NEO : The World Ends With You sur Playstation 4 ! est apparu en premier sur Otakonseil.

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Test : NEO : The World Ends With You sur Playstation 4 !

Si, pour certains d’entres vous, le premier volet de The World Ends With You correspond à sa version Final Remix sortie en octobre 2018, en réalité le jeu est sorti 10 ans plus tôt sur la Nintendo DS. Que ce soit l’une ou l’autre des versions, NEO : The World Ends With You se voit doté d’un gameplay entièrement revu. Adieu le tactile et bonjour l’action à fond les ballons !

Le jeu est traduit intégralement en français pour les textes et vous aurez le choix entre les voix japonaises ou américaines. La démo est disponible sur Nintendo Switch et PS4 pour vous donner une idée plus concrète du jeu qui reste assez complexe à expliquer !

* Ce test a été réalisé après avoir terminé la « première semaine » du scénario soit environ 20h de jeu *

NEO The World Ends With You

NTWEWY Jaquette

 

 

Genre : Action-RPG

 

Développeur : Square-Enix

 

Éditeur : Square-Enix

 

Supports : PS4, Switch

 

Classification : 12

 

Date de sortie : 27 Juillet 2021

Synopsis :

Alors que Rindo et Fret se baladent dans les rues de Shibuya, les véhicules se mettent à voler et à tomber devant eux. Il y a de multiples explosions et une énorme sphère engloutit tout le quartier ! Puis c’est de nouveau le calme. Rindo vient d’avoir une vision… du futur ! Il essaie donc de protéger Fret et lui même. C’est alors qu’apparait une jeune femme qui leurs souhaite la bienvenue dans le jeu des Reapers.

Rindo et Fret se rendent compte très vite qu’ils sont en réalité morts. Ce jeu pourrait leur permettre d’exaucer n’importe lequel de leurs souhaits à condition qu’ils remportent la première place du classement face aux autres équipes participantes. Ils ont 7 jours. C’est alors, avec l’espoir de revenir à la vie, que nos deux amis participent au jeu des Reapers !

 

NEO : The World Ends With You, la suite tant attendue !

Parlons dans un premier temps de l’aspect graphique de NEO : The World Ends With You (NEO : TWEWY pour les intimes !). On reste sur la même lignée que le premier volet avec une sacrée évolution ! Tout le jeu est en une sorte de cell shading au découpage manga dans les cinématiques et c’est très agréable à regarder. Des couleurs très vives, même si on entre parfois dans des recoins sombres, des dessins très nets et une direction artistique tenue de A à Z. On remerciera la team Tetsuya Nomura (Kindgom Hearts), Gen Kobayashi (The World Ends With You, Kingdom Hearts, Musashi : Samurai Legend) et Hiroyuki Itou (Final Fantasy 6, 9 et 12). Du caviar.

NTWEWY 3

NEO : The World Ends With You est un action-RPG au gameplay un peu « bourrinage de touches ». C’est simple à comprendre mais un peu moins simple à l’exécution (et à expliquer)

Vous vous baladez dans les rues de Shibuya par zone avec un chargement d’écran à chaque changement. En fonction du scénario, certaines rues ne seront pas disponibles ou accessibles immédiatement. Aussi, vous vous retrouverez à devoir effectuer certains « défis » lancés par les Reapers qui vous barreront la route vers certains quartiers, ainsi que plusieurs énigmes à résoudre. Je trouve ce côté là du jeu bien amené et plaisant.

En ce qui concerne les combats, vous devrez utiliser votre vision pour changer l’aspect de votre écran, apparaitra alors des icônes qui, lorsqu’ils vous toucheront, fera débuter un combat contre les Echos. Vous utilisez des badges qui vous permettront d’activer des capacités propres à chacune ! Vous pourrez en assigner une par personnage de votre équipe qui pourra se composer au maximum de 4 joueurs. Ils peuvent être assignés aux boutons croix, carré, L1/R1 et L2/R2. Chaque badge aura sa façon de s’activer / d’évoluer / son nombre d’utilisation, etc. Vous devrez parfois marteler le bouton, appuyer puis relâcher ou reste appuyer. Dans la pratique ça semble simple, mais il faudra bien gérer vos placements si vous ne voulez pas faire du Twister avec vos doigts… Car oui, vous pouvez activer TOUTES vos capacités en même temps durant les combats.

Shibuya est réputé pour être le quartier de la mode, force est de constater qu’un soin particulier a été apporté au design des personnages. Vous pourrez aussi acheter, dans les multiples boutiques du quartier, des Fringues qui sera l’équivalent de votre équipement en tant normal. Votre tenue se répartira en cinq parties : tête, haut, bas, chaussures et accessoires. Tous les éléments disposent d’une capacité déblocable grâce à vos points de style. Ceux-ci s’augmentent en mangeant certaines plats dans les restaurant.

Quand au scénario, il est assez simpliste et peu développé. Vous aurez une mission à exécuter par jour et une fois celle-ci terminée, le jour change. On ne pourra pas profiter de nombreuses cinématiques, puisqu’elles sont troquées contre des dialogues au découpage manga. Les personnages cependant ont chacun leurs caractères propres qui vous vaudra quelques sourires lors de leur échanges. On s’attache vite à nos protagonistes !

Petite nouveauté, vous aurez accès à une arborescence qui vous débloquera certaines options. Elle se développera en fonction de vos liens sociaux, avec notamment les vendeurs de restaurants et boutiques de Fringues.

WEC 3
Takeharu Ishimoto

Par contre, il faut bien avouer que la bande son originale de NEO : The World Ends With You est juste monstrueusement cool ! Ça bouge, ça reste en tête, c’est raccord avec l’univers du jeu. Nous le devons grâce au travail de composition de Takeharu Ishimoto qui avait déjà travaillé sur le premier volet (ainsi que Dissidia : Final Fantasy et Final Fantasy Type-0).

Points forts:

  • La musique ! 
  • Les phases d’énigmes
  • Traduction FR des textes et voix Japonaises
  • Le design des personnages

Points faibles:

  • Le choix des touches pour les badges, vive les tendinites !
  • Déplacements sur la carte
  • Peu de cinématiques
  • Scénario peu mis en avant

 

En clair :

Bien que graphiquement et musicalement le jeu ait totalement trouvé un style fonctionnant parfaitement, on a cependant l’impression que le côté action-RPG n’a pas encore trouvé sa voie. Les phases de combats sont peu pratiques, on finit vite par bourriner tous les boutons et à s’emmêler les doigts… C’est véritablement dommage car le jeu est tellement accrocheur dans son développement et son originalité qu’il mériterait d’être parfait sur tous les points. Il ne faut cependant pas vous arrêter là dessus, si vous êtes des habitués du genre, que vous aimer l’ambiance branché de Shibuya, foncez parcourir les rues de ce quartier fort animé du Japon à la découverte du jeu des Reapers !

 

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Chronique : Anonyme, l’enfer d’avoir sauvé une vie !

Les lycéens sont d’ordinaire plein de rêve, d’espoir et croquent la vie à pleines dents. Takashi n’a pas eu cette vie…

Manga Soleil nous propose une œuvre originale mettant en scène la dangerosité d’un vœu de silence.

ANONYME

Titre original: Boku no Namae wa « Shounen A » / 僕の名前は「少年A」

 

Titre romanisé: My Name Is « Boy A » / Boku no Namae wa « Shōnen A »

 

Auteurs: KIMIZUKA Chikara (scenario)  HIOKA Yen (dessins)

 

Éditeur français: Soleil Manga

 

Éditeur original: Square Enix

 

Date de sortie: 03 Juin 2020

 

Nombre de tomes4 volumes, série terminée

 

Prix: 7.99 €

Synopsis :

Takashi vit la meilleure période de sa jeunesse. Il va intégrer l’équipe de baseball de son collège et la fille qu’il aime, Sasaki, a accepté d’être sa copine. Mais lorsqu’il surprend son professeur abusant d’elle, il intervient à coups de batte. Il est contraint d’adopter une nouvelle vie ailleurs, cela fonctionne jusqu’à ce que le passé revienne le hanter. Un mystérieux informateur décide de mettre tout le monde au courant…

:kpFlowerBlue: Cette chronique a été réalisée après avoir dévoré les tomes de ce titre. :kpFlowerBlue:

 

Nous incarnons Takashi, un jeune lycéen profitant de son adolescence ou du moins, en apparence. Ayant un certain talent dans le baseball, Takashi est voué à un avenir prometteur.

Son amie Sasaki, pour qui il développe des sentiments, l’accompagne tout le long de son aventure.

Peu de temps après l’annonce de son intégration dans une équipe, Takashi remarque l’étrange comportement qu’a son amie depuis maintenant quelques semaines.

Elle ne se laisse plus toucher sans être apeurée, elle ne sourit plus et mange très peu.

L’isolement de son amie commence à faire planer le doute…

« Que se passe-t-il ?« 

 

 

Dès le début du manga, nous comprenons que quelque chose de grave s’est passé dans le passé de Takashi. Sasaki n’est plus présente dans sa vie.

 

Plusieurs flashbacks nous montrent l’évolution de Takashi, celui qui était autrefois rempli de joie et d’amour est devenu quelqu’un de froid et cynique.

 

Peu de temps après son arrivé dans son nouveau lycée, Takashi reçoit d’étranges messages de la part d’un anonyme.

 

Sasaki elle, malgré qu’elle est perdue contact avec Takashi, se retrouve dans la même situation que ce dernier. Cyberharcelés, leurs vies deviennent un enfer.

Mais qui est derrière tout cela ?

Le NinoAvis

 

Au fan de Seinen, je vous recommande fortement ce manga.

L’histoire est très prenante et éveille la curiosité. C’est vrai non ? Qu’est ce qu’il y a bien pu se passer ?

:warning~1: Attention, ce manga comporte des scènes gore pouvant choquer les plus sensibles.

D’autant plus que ce manga parle de viol, suicide et de harcèlement !

 
 
Anonyme ! / Tome 1 - MANGA et ANIME vus par des passionnés
 
 

Œuvres similaires ? 

 
Intrigué par Anonyme ? Nous avons d’autres manga dans notre hôte qui pourraient tout autant vous plaire ! Sayuri par exemple, avec ses thématiques de vengeance, d’harcèlement, et de violence, chroniqué ici même. Dans un registre tout aussi pesant, mais moins gore, il existe aussi Many reasons why qui compte actuellement 5 volumes en France.
 

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